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Bloguer, c'est bien souvent lire différents blogs également. Dans la blogo, on trouve de tout et parfois même n'importe quoi. Dans ce monde pas si bisounours, il y a des blogs qui ne me donnent pas envie d'y rester et encore moins d'y revenir. Alors je vous livre ma petite liste des 5 détails qui me font fuir d'un blog.

Blog : Ces 5 détails qui me font fuir

- la vidéo/musique qui se lance automatiquement.
Ce point, je le prends carrément comme une agression auditive, qu'il s'agisse de pub ou non. Les playlists musicales qui se lancent, c'est bien gentil, vous aimez sûrement d'amour cette chanson pour la mettre sur votre blog mais nous, on ne l'aime peut-être pas et on n'a peut-être pas envie de l'écouter.

- la fenêtre pop-up qui incite à suivre le blog
Si j'ai envie de suivre un blog, la démarche viendra d'elle même, je n'ai pas envie qu'on m'invite à liker la page Facebook ou m'inscrire à la newsletter avec une fenêtre pop-up qui surgit en plein milieu de mon écran, généralement alors que j'ai déjà commencé ma lecture.

- les captcha codes 
Je ne sais pas vous, mais moi, ces codes de vérifications anti-robot, ça me tape rapidos sur les nerfs. La moitié du temps, ils sont indéchiffrables, à tel point que j'en viens à me demander si je ne suis pas un robot. Le pire, c'est lorsque je me suis trompée et que tout mon commentaire soigneusement rédigé s'efface. En général, je ne retente même pas.

- les arguments sans développement
Je vous avoue, j'ai été tentée de ne pas développer cet argument, pour l'exemple. Mais bon, je n'allais pas vous laisser comme ça. Enfin, imaginez mon article sans les développements de mes points, ça resterait une liste, comme si j'allais faire mes courses. Je trouve que l'intérêt est moindre lorsqu'on ne développe pas, surtout sur un blog, qui selon moi est fait pour rédiger, pas seulement pour balancer une liste. De plus, développer son raisonnement améliore la compréhension en apportant des précisions.

- les présentations de produit sans réel avis
<<Coucou, j'ai reçu la dernière PaieTaBox sur le thème Arc en ciel et donc dedans il y a une crème pour les mains de la marque Boxbox, un rouge à lèvre rose barbie de chez Boxes, un collier Bux et une pochette PaieTaBox.>> Oui, c'est cool, mais encore ? Les produits, ils sont comment ? La qualité ? Ils te plaisent, ils ne te plaisent pas ? Mon exemple porte sur les box, mais ça s'étend à tous les produits, qu'il s'agisse de beauté, de cuisine, de matériel créatif... Montrer une photo, ajouter une ligne... Aucun intérêt en somme.

Et vous, quel détail vous fait fuir d'un blog ?
Cette semaine, nous avons continué notre exploration de la côte du Cap Sizun, après la Pointe du Millet et celle de Kastel Koz, nous avons choisi de faire une petite randonnée depuis la Pointe de Penharn jusque celle de Brézellec. Pour vous donner une idée niveau chiffres, nous avons fait 6,9km en 2h30 (avec un gain d'altitude de 327m et une perte de 320m) pour un allé/retour d'une pointe à l'autre. 

Cap Sizun : de la Pointe de Penharn à celle de Brézellec

Le chemin est très accessible, s'il y a pas mal de descentes et de montées, elles ne sont pas trop difficile, le terrain n'est pas accidenté et il ne faut que rarement crapahuter dans des rochers. Le tout est très bien balisé, ce qui est vraiment agréable. La grande majorité du temps on est bien exposé au soleil (et au vent aussi s'il y en a) donc il faut penser à la crème avant de partir. La vue est magnifique à chaque instant, la hauteur permet de surplomber le paysage. En arrière, on distingue clairement les pointes précédents, comme celle de Kastel Koz et de l'autre côté de la baie Crozon, même si pour nous ce jour-là c'était un peu brumeux.

Cap Sizun : de la Pointe de Penharn à celle de Brézellec
Le chemin nous fait passer par la Pointe de Kerharo mais franchement s'il n'y avait pas eu le poteau d'indication on ne l'aurait pas su, cette pointe est petite est pas vraiment impressionnante ! Par contre je crois qu'elle n'est accessible qu'en marchant.

L'arrivée à la Pointe de Brézellec est vraiment top. Depuis Kerharo on voit déjà les petits bateaux de pêches au port d'attache. Cette pointe est selon moi un coin à voir dans le Cap Sizun, surtout grâce à son village de lutins. Je ne sais pas si les touristes qui s'y arrêtent pour pique-niquer, randonner ou simplement se balader ont le courage de descendre jusqu'au port de pêche, mais ils devraient vraiment ! Le parking se trouve en haut de la pointe (mais deux parkings sont également en contrebas pour les plongeurs et pêcheurs) et s'il y avait une dizaine de véhicules, nous n'avons vu personne en bas. Bref, je reviens à mon village de lutins. Lorsqu'on descend au niveau du port on a la chance de découvrir un petit village trop mignon : des nains de jardin, lutins et autres petits personnages avec leurs animaux et maisons, au milieu de jolies fleurs plantées là surplombent le port. 

Quelques bancs ont aussi été installés là au milieu des fleurs ainsi qu'un banc d'écolier avec sur le bureau quelques ardoises et des craies, histoire de permettre aux visiteurs de laisser un petit mot. Franchement, l'endroit est superbement aménagé, c'est un très bon coin pour faire une jolie pause ! 

De notre côté, nous ne sommes pas prêts d'oublier ce coin car il fut le lieu d'une aventure qui nous fait encore frissonner. Alors que j'étais assise sur les escaliers en train de finir mon sandwich, j'ai senti un truc contre le bas de mon dos... Croyant qu'il s'agissait de la laisse du chien, je me suis retournée en tapotant le "truc" en question qui s'est avéré être... un serpent ! Alors bon, en moins de 2 secondes j'étais debout en train d'hurler de trouille, mon copain quant à lui a détalé plus vite qu'un lapin pour se réfugier plus haut dans l'escalier. Dans la panique je suis quand même restée sur place pour tenir mon chien afin d'éviter qu'elle aille vers le serpent que j'ai donc pu voir fuir. Étant donné qu'on a autant peur des serpents l'un que l'autre, on n'a pas été super emballé par cette rencontre, même s'il a du avoir plus peur que nous ! Plus de peur que de mal mais il fallait que je vous raconte cette petite anecdote. Maintenant, je vous laisse avec mes photos !

Cap Sizun : de la Pointe de Penharn à celle de Brézellec

Cap Sizun : de la Pointe de Penharn à celle de Brézellec

Cap Sizun : de la Pointe de Penharn à celle de Brézellec

Cap Sizun : de la Pointe de Penharn à celle de Brézellec

Cap Sizun : de la Pointe de Penharn à celle de Brézellec

Cap Sizun : de la Pointe de Penharn à celle de Brézellec

Cap Sizun : de la Pointe de Penharn à celle de Brézellec

Cap Sizun : de la Pointe de Penharn à celle de Brézellec

Cap Sizun : de la Pointe de Penharn à celle de Brézellec

Cap Sizun : de la Pointe de Penharn à celle de Brézellec

Cap Sizun : de la Pointe de Penharn à celle de Brézellec

Cap Sizun : de la Pointe de Penharn à celle de Brézellec

Cap Sizun : de la Pointe de Penharn à celle de Brézellec

Cap Sizun : de la Pointe de Penharn à celle de Brézellec

Cap Sizun : de la Pointe de Penharn à celle de Brézellec

Cap Sizun : de la Pointe de Penharn à celle de Brézellec

Cap Sizun : de la Pointe de Penharn à celle de Brézellec

Cap Sizun : de la Pointe de Penharn à celle de Brézellec

Cap Sizun : de la Pointe de Penharn à celle de Brézellec

Cap Sizun : de la Pointe de Penharn à celle de Brézellec

Cap Sizun : de la Pointe de Penharn à celle de Brézellec

Cap Sizun : de la Pointe de Penharn à celle de Brézellec

J'ai épousé un con est une histoire d'amour acidulée qui commence par un coup de foudre à Saint-Tropez, comme toute idylle qui se respecte. Le ciel, la mer, les oursins, le pastis. Et le coeur qui se met à battre un peu plus fort. Et qu'importe les lendemains qui déchantent, Pépita a trouvé l'oiseau rare : son Roméo est un homme, un vrai. Un irréductible macho. «Un con» ! Seulement voilà, son «con», elle l'aime. Pas question de le quitter, le «compléter» à la rigueur... Mais quand on veut changer l'autre, le pire n'est-il pas d'y arriver ?

{Lecture} J'ai épousé un con - Agnès Bouquet

Le livre parfait pour ne pas réfléchir. Il est plein de futilités, sûrement du au rang social des personnages. Mais le titre  "J'ai épousé un con" colle parfaitement. Plus on avance dans le bouquin, plus on se dit "Mais quel con !". Je reste mitigée sur le "L'histoire de presque toutes les femmes", du fait que je me dis que les 3/4 des dites femmes ne sont pas aussi stupides que l'héroïne. C'est le roman qui cloisonne les femmes dans la catégorie "écervelée idiote" et les hommes dans celle de "connard macho". Je n'attendais pas grand chose de ce roman et au final, j'avais raison, il ne m'a apporté grand chose, à part quelques paragraphes relus (maximum 3) à mon copain pour lui illustrer mes "Il est trop con le mec du bouquin".
Depuis qu'on a Netflix, je prends le temps de découvrir de nouvelles séries et en général, de les dévorer. C'est comme ça que dernièrement, j'ai jeté mon dévolu, un peu au hasard, sur Video Game High School. C'est une série datant de 2012, donc plutôt récente, en trois saisons assez courtes. La première saison est faite de 9 épisodes et les deux autres de 6 épisodes.

{Sérithèque} Video Game High School

L'histoire tourne autour d'un ado, Brian, qui se retrouve accepté sur un coup de bol dans une grande école de jeux vidéos. Enfin, c'est plus un lycée qu'une école d'ailleurs. Imaginez-vous un lycée de jeux vidéos avec des classes de jeux de combat, drift, sportifs, réseaux sociaux... ? Je suis sûre que le concept plairait à pas mal de gens ! Dès le départ, on rencontre les personnages principaux, Ki Swan qui est une combattante, Ted Wong qui est d'abord dans la classe de rythme (avec des jeux comme Guitar Hero) puis passe en drift, Jenny Matrix, qui elle joue aux FPS (jeux de tir à la première personne style Counter-strike). On a également The Law, joueur célèbre de FPS. C'est grâce à lui que Brian entre dans l'école, en effet, alors que The Law entre aléatoirement dans un serveur en direct à la télévision et tue avec une facilité déconcertante ses adversaires, jusqu'à ce que Brian le tue sur un coup de chance. Croyez-moi, cette scène est assez sympa à voir et même plutôt marrante !

{Sérithèque} Video Game High School

{Sérithèque} Video Game High School

Bon, si vous n'êtes pas adeptes des jeux vidéos, je vous ai peut-être perdu... Mais personnellement, je n'y connais rien ! La seule console que j'avais eu à la maison, c'était la game boy et à part Pokémon, je ne jouais pas à grand chose. Côté jeux sur ordinateur, je me suis bien sûre essayée aux Sims et j'étais folle d'Age of Empire, mais c'est tout, mes connaissances s'arrêtent là. Je n'ai jamais joué à Mario par exemple et les Playstations et autres consoles sont des mystères pour moi !

Alors pourquoi regarder une série qui tourne autour des jeux vidéos ? Pour l'originalité d'abord. Même si les jeux vidéos sont très présent, notamment avec la compétition de FPS qui oppose les différentes écoles, il y a des histoires d'ados classiques, comme on peut en trouver dans les autres séries de lycées : histoires d'amour, de rivalités, d'amitié, de vengeance... Classique je disais !
Ce que j'ai aimé dans cette série, c'est de découvrir un peu mieux le monde des jeux vidéos. Le gros plus, c'est qu'on ne voit pas seulement les joueurs devant leurs consoles ou leurs écrans, on les voit DANS les jeux vidéos. Pas seulement les personnages ou avatars, mais eux, comme si les scènes étaient réelles et qu'on pouvait jouer "pour de vrai", comme on jouerait au paintball par exemple. Ça rend les scènes de jeux vidéos vivantes et pas barbantes. J'avoue, souvent j'ai eu du mal avec les acronymes, comme VGHS, FPS et compagnie, mais après quelques épisodes on s'y fait et on comprend bien mieux la série !

Cela fait pas mal de temps qu'on n'a pas causé film ou série par ici ! En ce moment, nous sommes sur plusieurs séries en même temps, dont Suits : avocats sur mesure. Comme le titre vous l'indique, il s'agit d'une série d'avocats. Mike, le jeunot hyper brillant grâce à sa mémoire eidétique devient sur un coup de bol l'assistant d'un super avocat de New York : Harvey. Autour de ça on a plein d'infos sur la vie personnelle de Mike (enfances, amis, amour, embrouilles...), très peu sur Harvey (en tout cas en dehors de sa vie d'avocat) et quelques personnages plus ou moins sympathiques ou attachants comme Jessica (dirigeante du cabinet), Rachel (assistante juridique), Louis (éternel rival mais aussi collègue d'Harvey), Donna (secrétaire d'Harvey)... 

{Sérithèque} Suits : avocats sur mesure

Voilà pour les grandes lignes de la série. Dans chaque épisode, on découvre une nouvelle affaire ou bien on en suit une plus ou moins longue... Le tout avec l'évolution des personnages principaux au sein du cabinet, entre magouilles, cœurs brisés, fusions, traitrises... Tout un programme !


Pour info, il y a 5 saisons, la première ayant été diffusée en 2011 aux US et la 5ème prévue pour l'été 2015. De notre côté, nous sommes sur la saison 3.

Maintenant, on passe à nos avis sur la série. 
L'avis de Morgy : Cette série change par rapport aux séries habituelles (je ne compte plus les séries policières...). Elle nous permet de découvrir les coulisses d'un cabinet d'avocat mais il est difficile de bien comprendre toutes les affaires, on peut se perdre facilement, surtout avec les nombreux noms de clients et compagnie. Les personnages sont attachants et le tout est drôle et sérieux en même temps. Selon moi, il ne faut pas manquer cette série.

L'avis de Caro : Niveau série d'avocats, j'ai donné dans Ally McBeal (mais ça remonte à loin) et Drop Dead Diva. Si comparer avec Ally McBeal va être difficile car je ne m'en souviens pas trop, je peux comparer avec DDD ! Si cette dernière est facile à suivre et plus axée sentiments qu'affaires, Suits quant à elle est plus technique, moins sentimentale et du coup, plus "masculine". 
Si toutes les affaires ne sont pas forcément passionnantes, on arrive facilement à suivre l'histoire générale. Le fait que le tout soit étoffé avec quelques histoires personnelles, notamment celles de Mike, rend le tout plus humain et plus captivant. Je regrette juste que la vie d'Harvey reste un peu secrète, cela suggère qu'il ne vive que par son travail... Pour conclure, je peux vous dire que cette série est plutôt cool et prenante !
Je vous rassure tout de suite, lorsque je parle partenariats, il ne s'agit pas de partenariat avec ce blog-ci, trop jeune, trop "vide", pas assez suivi... mais plutôt avec mon blog créatif qui lui commence à avoir de la bouteille. Niveaux partenariats avec les marques, je suis devenue exigeante. Enfin, "devenue", je crois l'avoir été dès le départ. Mais mes envies, mes conditions et mes choix s'affirment de plus en plus. Je prends le temps de réfléchir à chaque offre, je ne me précipite pas dans une réponse et je ne saute plus que rarement de joie à la simple lecture de l'objet "proposition de partenariat".

Partenariats : ai-je le droit de faire ma difficile ?

Parfois, quand une marque arrive la bouche en cœur pour me proposer un partenariat, j'ai l'impression qu'elle se croit au dessus de tout et que moi, petite blogueuse, je devrais être honorée d'avoir été choisie dans la masse des blogueuses qui pourraient me remplacer au pied levé. Parfois, j'ai l'impression qu'on se moque clairement de moi ou de mes lecteurs.

Au final, quand je refuse une offre, je sais bien que la marque s'en fiche. Je prends le temps d'expliquer ma décision, mon point de vue sur l'offre en question, de dire ce qui ne me convient pas et même parfois, proposer une alternative. Mais en général, on me répond (si on me répond hein) "D'accord, au revoir". Il y aura TOUJOURS quelqu'un pour accepter. Et parfois, les personnes qui acceptent me déçoivent. Si par exemple, je refuse un partenariat parce qu'il me donne l'impression que je vais me moquer de mes lecteurs puis qu'une blogueuse que je lis l'accepte, je vais forcément avoir l'impression qu'elle se moque de moi. C'est un peu triste en un sens, parce que chacun est libre d'accepter les conditions qu'il souhaite.

Chacun est libre de poser ses propres limites mais seulement, je pense justement qu'il faudrait que chacun soit capable de poser ces limites en questions à un moment donné. Devenir une vitrine publicitaire qui accepte tout et n'importe quoi, ça peut porter préjudice au final. D'un autre côté, j'admire tous ceux qui arrivent à faire cette sélection, à avoir les bons partenariats, les bonnes idées et les bonnes limites.
Notez également que je ne mets pas toutes les marques dans le même panier. Il y en a des très bien, qui sont courtoises, qui entament la discussion, qui te comprennent, qui sont tops quoi ! Je regrette juste parfois, que toutes ne le soient pas.

Bon et au final, ai-je le droit de faire ma difficile ? Non, je pense que je DOIS faire ma difficile. Si les marques pensent que nous leur devons tout, c'est faux, ce sont elles qui profitent de nous, alors c'est à nous de ne pas nous "laisser faire" et d'imposer ce qu'on souhaite (dans la limite du raisonnable, ce qui est valable dans un sens l'est dans l'autre !). Peut-être que si tous les blogueurs faisaient leur difficile, les marques proposeraient toujours des partenariats de qualité ?

Quelques exemples qui ne m'ont pas plu :
  • ceux qui ne répondent pas lorsqu'on propose une autre solution
  • ceux qui exigent des liens dans d'anciens articles
  • ceux qui veulent imposer tout un texte
  • ceux qui proposent de faire gagner un lot dont personne ne voudrait en vrai
  • ceux qui veulent qu'on achète leur produit pour en parler avec en échange un partage de notre article sur leurs réseaux sociaux
  • ceux qui proposent quelque chose sans aucun lien avec le blog

Et vous, côté partenariats, quelles sont vos exigences ?

A une époque, j'aimais bien lire certains magazines, ado je piquais les Jeune & Jolie et 20 ans de ma sœur. Puis les Cosmo de ma mère. Je me suis même abonnée un an à Cosmo quand j'étais à la fac. Et puis je me suis lassée, je trouvais tous ces magazines à mille lieux de ce que je pensais, ressentais, vivais... Trop de décalage entre eux et moi. Trop de futilités, d'articles bidons qui font faire les gros yeux et de conseils à ne surtout jamais suivre. Alors j'ai arrêté d'en lire. Jusqu'à l'arrive de ces nouveaux magazines orientés mindstyle, prônant la vie, les petits bonheur, la simplicité, la découverte de soi... Pas de test à deux balles pour savoir si tu es plutôt chien, chat ou chimpanzé ou si ton couple est de tel ou tel style. Pas de conseil sur comment faire l'amour pour continuer à plaire à "chéri-chéri" après 6 mois de couple. 

Ces nouveaux magazines mindstyle


Je vais vous parler de trois de ces magazines mindstyle qui m'ont fait revenir vers les kiosques. Mi curieuse, mi intéressée. Entièrement mouton aussi. Parce qu'il est vrai que sans la blogo, sans Instagram, jamais je n'aurais prêté attention à ces magazines. Mais bon, c'est fait, mon avis est tombé, je sais lesquels j'aime ou non et lesquels je continuerais de lire, ou non. Bref, il s'agit de Simple things, Happinez et Flow.

Le concept des trois se ressemble, comme j'en ai parlé plus haut, c'est sensé être plus profond qu'un magazine féminin classique et nous donner des pistes pour une vie plus saine, plus à l'écoute, plus tranquille, plus "healthy" ou un truc du genre. Du moins, c'est ce que je ressens à leur propos. 

J'ai craqué pour Happinez à mon retour de Budapest l'été dernier, après une nuit et une journée d'avion et d'aéroports, j'arrivais à Paris et j'étais encore bonne pour quelles heures de train. Je suis allée dans un kiosque gare Montparnasse avec la ferme intention de mettre la main sur le fameux Happinez aperçu sur Instagram, histoire d'occuper un peu mon trajet. Je pensais aussi dormir dans le train mais finalement, je me suis prise complètement dans le magazine et je l'ai lu. Entièrement. Tous les articles, même l'édito. Le truc qui ne m'était jamais arrivé, d'habitude, il y a toujours la moitié des articles qui passent à la trappe.
Vous comprenez donc que j'ai été conquise par ce magazine, les sujets étaient intéressants, les interviews bien menées, les pages colorées et jolies... Certains articles m'ont davantage parlé que d'autres mais j'ai pris réellement du plaisir à le lire.

Ces nouveaux magazines mindstyle

Ces nouveaux magazines mindstyle

Ces nouveaux magazines mindstyle


Comme j'entendais davantage parler de Simple things que d'Happinez autour de moi, je me suis dit qu'il devait valoir le coup lui aussi. Comme son titre l'indique, il est tourné vers les choses simples à savourer dans la vie. Après lecture, je suis déjà moins emballée. Vraiment moins. Je ne suis pas vraiment intéressée par la majorité des sujets, ils ne me parlent pas, à nouveau, je ne me retrouve pas dans ce magazine. J'en entends pourtant beaucoup de bien, mais à moi, il ne me convient pas.

Ces nouveaux magazines mindstyle

Ces nouveaux magazines mindstyle

Enfin, parlons de Flow, dont le numéro 2 vient de sortir. Là, il s'agit de moutonnage pur et simple. Il y a eu énormément de foin autour de sa sortie, tout le monde s'est précipité dessus et y est allée de sa petite photo sur Instagram et du hashtag #jesuisflowish. Même moi, j'ai montré mon appartenance au mouvement de coolitude en publiant ma photo. Après cette première lecture, j'ai choisi d'attendre le deuxième numéro pour en parler et donc, rédiger cet article. Je suis clairement déçue. Il n'y aurait pas eu cette sorte de pression médiatique, je pense que je n'aurais acheté ce magazine et j'aurai eu raison. Il est sympathique, mais il ne m'apporte rien. Ce dont il parle, j'ai l'impression que c'est avec 5 ans de retard. Les sortes de goodies à l'intérieur ne m'intéressent pas : que faire d'une guirlande en papier à moitié déchirée et pas forcément très jolie ? J'ai envie de demander à tous ceux qui l'ont mise dans leur chambre, bureau, salon... Est-ce que vous l'aimez vraiment cette guirlande ? Et le soit disant organiseur du numéro 2, vous allez vraiment délaisser votre bel agenda acheté en début d'année (ou en fin) pour lui ? Ok, il est coloré, certaines pages sont vraiment jolies avec de belles citations... Mais perso, je vais sur Pinterest, j'en trouve à la pelle. J'ai même mon board "citation" depuis des années. Je ne veux pas être rabat-joie mais encore une fois, je dirais que ce magazine ne me convient pas. 

Ces nouveaux magazines mindstyle

Ces nouveaux magazines mindstyle

Ces nouveaux magazines mindstyle

Sur les trois, vous l'aurez compris, mon favori est Happinez, le premier à avoir croisé ma route. Les trois me conviennent globalement bien mieux que des Cosmo, Glamour, Biba ou People (je crois avoir acheté une fois un Glamour, mais c'était pour le cadeau) et je suis sûre qu'au moins un des trois vous enchantera. Mais il y en a un autre de magazine qui a croisé ma route à peu près au même moment et si je ne devais en choisir qu'un, ce serait celui-là. On ne le voit pas sur les blogs, on le voit rarement sur Instagram, mais il méritait qu'on y prête attention. Promis, je vous en parle bientôt.

Après cinq longues années sans sortir d’album, mais Les Wampas sont revennus en octobre 2014 avec un 11ème opus : Les Wampas Font La Gueule. En effet Didier Wampas a profité de cette période pour sortir deux albums solo accompagné sur scène des Bikini machine et un autre album avec son groupe familial Sugar & Tiger.


{Musithèque} Les Wampas font la gueule

Formé en 1983 le nom Wampas vient du nom d'une tribu dans la bande dessinée Rahan.Un des rares groupes rescapés de la scène alternative Française de l’époque comme les Béruriers noirs, les Garçons Bouchers ou la Mano Negra... Le groupe n’a jamais voulu arrêter l’aventure,malgré le suicide du guitariste Marc police en 1991 et de nombreux changements de formation comme le départ de Jo Dahan ex bassiste de la Mano Negra ou Ben Sam aujourd'hui membre du groupe Sporto Kantes.

C’est en 2003, après 20 ans de carrière que le groupe va se faire connaitre auprès du grand public grâce au tube Manu Chao diffusé sur des grandes radios comme Europe 2 (à l'époque) et même l’horreur sur NRJ. Pourtant il y a bien des morceaux plus interessants comme Ce soir c’est noël ou Petite fille où les femmes sont invitées à venir danser sur scène, à noter que la petite fille en question dans le clip n’est autre que Marion Cotillard à l’age de 15 ans, titre également présent dans le film J’embrasse pas.

Les Wampas ne se prennent pas aux sérieux et sortent même un t-shirt (que je possède) "le chanteur des Wampas chante faux mais c’est fait exprès". L’esprit du groupe est clair lors de l’intro d’un album "Y'a qu'à mettre tout à fond. Qu'est ce que vous faites chier à baisser vos merdes là ? Tout à fond ! Le rock, c'est tout à fond".
Les concerts sont explosifs, une recherche de l’imprévu, un moment de fête, que ce soit en première partie d’Indochine au Stade de France ou dans les festivals.
L’album Les Wampas font la gueule ne déroge pas à la règle, toujours du yéyé punk chanté en français accompagné de guitare saturée. Des textes déjantés comme les titres Le Fest-noz Halloween et Le bug de l’an 2000. Beaucoup de chansons parlent de rencontre et d’amour comme Toi et moi, Je voudrais ou encore Valérie "met tes rêves en sachet, ta radio en réveil, on ne sait jamais Valérie, tu peux m’entendre un jour, et ce jours là toutes les vieilles du 16éme sauront enfin c’est certain pourquoi je continue à chanter sans fin, rien que pour toi".


On trouve aussi des textes qui abordent l'actualité musicale comme Mars 78 avec la mort de la variété française le jour de la disparition de Claude François. La dernière chanson clôture en beauté le disque : "c’est pas moi qui suis trop vieux, votre musique c’est vraiment de la merde."
Les lesbiennes Bavaroises est quant à lui mon morceau préféré "ça doit être chiant d’être un rappeur, trop de paroles à écrire, le rock’n’roll c’est plus facile quand on n’a rien à dire".


En conclusion cet album est bon, les Wampas ne changent pas et gardent la même recette punk rock qui marche, avec un son plus travaillé qui rappelle les premiers albums. Les concerts risquent d’être un joyeux bordel et ça c'est cool !
 Article rédigé par Morgy.
Je reviens après une petite semaine de pause pour cause d'organisation intensive du dernier événement Blog en Breizh qui a eu lieu hier avec ma rubrique thé. Aujourd'hui, j'ai choisi de vous parler de mon "number one", celui qui a grimpé directement au sommet lorsque je l'ai goûté et qui n'a jamais été détrôné depuis : le Oolong milky de la Maison Theodor. 

{Dans ma théière} Oolong milky - Maison Theodor

Je l'avais reçu dans une box Envouthé et je suis tombée amoureuse à la première tasse. L'odeur laiteuse peut paraitre écœurante lorsqu'on sent le paquet, surtout lorsqu'on n'aime pas le lait comme moi, mais je ne sais pas pourquoi, j'adore l'odeur qui se dégage ce thé. A chaque fois je le hume à pleines narines, histoire de bien m'en imprégner.
Les feuilles sont roulées et le plaisir de l'infusion est de les voir se détendre lentement. Ensuite, il y a le goût... Ce goût ! Je ne saurais vraiment le décrire, je ne pourrais que dire qu'à chaque fois, il m'invite à me glisser dans un monde de cocooning... J'adore boire ma (grande) tasse d'Oolong milky le soir, lovée sur le canapé sous un plaid ou encore déjà dans mon lit avec une bonne lecture.
Si vous suivez bien, vous comprenez donc que ce thé est un réel plaisir pour les sens, du moins trois d'entre eux, puisque j'ai cité l'odorat, la vue et le goût. 

{Dans ma théière} Oolong milky - Maison Theodor

{Dans ma théière} Oolong milky - Maison Theodor

{Dans ma théière} Oolong milky - Maison Theodor

Après avoir terminé le petit sachet de la box, j'avais racheté une boite métallique de 100g, puis un sachet parisien de 125g terminé récemment et là, j'entame un nouveau sachet, qui m'a été offert à mon anniversaire par mon merveilleux chéri (oui, quand il m'offre mon thé chouchou, je le qualifie de merveilleux). 
J'avoue que ce thé est quand même un budget puisque les 125g coûtent 29€95 mais sérieusement, c'est le meilleur thé du monde alors moi, je suis prête à y mettre ce prix-là. Par contre, lorsqu'un revendeur en bas de chez moi l'affichait à près de 50€, j'ai dit non.

Et vous, votre thé number one, c'est lequel ?

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